Mode éco-responsable : un choix durable pour Elora

Comment définir l’éco-responsabilité ?

Selon l’Ademe, l’éco-responsabilité désigne l’ensemble des actions menées dans l’objectif de limiter l’impact d’activités sur l’environnement. La réduction de l’impact environnemental passe par des changements dans différents domaines :

• l’organisation du travail ;
• la gestion ;
• le choix des investissements ;
• la sensibilisation du personnel ;
• l’adoption d’éco-gestes.

Elle concerne aussi bien les collectivités, les entreprises et les particuliers. 

Elle s’applique en outre à différents secteurs, dont l’industrie de la mode.

Qu’est ce que le développement durable ?

L’Insee définit le développement durable en ces termes : il s’agit d’un « développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs ». Une définition donnée en 1978 par Harlem Brundtland, alors Premier ministre norvégien.

Plus tard, le concept a été étoffé et précisé à l’occasion du Sommet de la Terre, à Rio (1992). Les principaux piliers du développement durable ont ainsi été définis. Le développement durable se doit d’être :

• économiquement efficace ;
• socialement équitable ;
• écologiquement soutenable.

Là encore, le concept concerne toutes les entités, des entreprises (tous secteurs confondus) aux particuliers.
                   

Qu’est-ce que la mode éco-responsable ?

La mode éco-responsable prend en considération les problématiques liées à l’éco-responsabilité et au développement durable.

Les marques se voulant éco-responsables créent et produisent des vêtements en prenant en compte la préservation de la planète. Elles prêtent une attention particulière au gaspillage des ressources, aux changements climatiques, ainsi qu’à la transparence sur l’origine des produits – plus le site de production est proche, mieux c’est !

Pour comprendre un peu mieux la notion de mode éco-responsable, il faut notamment s’intéresser aux concepts de fast fashion et slow fashion.

                                                                    
          À lire aussi :Pourquoi choisir une marque éco-responsable ?

La fast fashion

La fast fashion est une tendance qui consiste à produire de nombreuses collections de vêtements chaque année à bas coût. Les clients se retrouvent ainsi avec une offre pléthorique, parfois renouvelée plusieurs dizaines de fois par an par les marques de prêt-à-porter.

Ce mode de production est aux premiers abords intéressant pour les consommateurs. Ils :

• peuvent avoir une garde robe à la pointe de la mode et en phase avec les critères de beauté en vogue ;
• achètent des produits à prix attractifs.

Toutefois, derrière cette vitrine alléchante, la fast fashion a ses limites :

• La production constante de nouvelles collections pollue. Selon l’Ademe, l’industrie de la mode émet 1,2 milliard de tonnes de gaz à effet de serre par an.
• Les collections qui sortent au fil de l’année poussent les consommateurs à acheter toujours plus de vêtements pour rester tendance. Cela crée une forme d'addiction, qui est fréquemment renforcée par des outils comme les ventes privées, les programmes de fidélité et les soldes.
• Les articles produits sont de mauvaise qualité (utilisation de coton ou encore de polyester classiques) et ont une courte durée de vie. Il faut donc en racheter souvent !

De plus en plus de consommateurs prennent leurs distances avec la fast fashion. Certains événements y ont contribué, comme l’effondrement de l’immeuble Rana Plaza en avril 2013. Cet accident avait provoqué la mort de plus de 1 120 ouvriers de l’industrie textile travaillant pour différentes marques de prêt-à-porter. 

La slow fashion

La slow fashion est un mouvement à contre-courant de la fast fashion. Elle repose sur la fabrication de vêtements et d’accessoires qui respecte davantage l'environnement. La slow fashion, qui s’inscrit dans la mode éco-responsable, passe par différents aspects :

• Choisir des matières ayant un impact environnemental moins important. Les matières doivent mieux se préserver dans le temps, pour limiter la surconsommation. Lin, coton bio, matière recyclée et/ou vegan… les pistes sont nombreuses.
• Adopter une production raisonnée avec moins de collections. Les quantités d’articles peuvent aussi être réduites et/ou les marques peuvent se reposer sur un dispositif de pré-commandes.

Au regard des exigences liées à la slow fashion, le coût des pièces produites est généralement plus élevé que des vêtements issus de la fast fashion. Elora s'inscrit dans cette logique.

Quels sont les engagements d’Elora pour un dressing responsable ?

Elora fait partie des marques qui œuvrent pour limiter leur impact sur l’environnement, en s'appuyant sur différentes solutions.

• La Green collection

Chaque saison, elle met en avant des matières durables telles que le coton bio, le polyester recyclé, le lyocell, le lin ou encore le polyamide recyclé.

• La prise en compte de la souffrance animale

Les vêtements commercialisés par Elora ne contiennent pas de mohair. Une décision notamment prise en accord avec la Peta, qui œuvre pour la défense des animaux.

• Le respect de labels et de normes

Reach, STANDARD 100 by OEKO-TEX®… Ces appellations ne vous sont peut-être pas familières, mais elles riment toutes avec le respect de certaines règles. La conformité avec ces normes et labels aide les marques à faire des progrès significatifs en matière d'éco-responsabilité.

• L'engagement dans des projets annexes éco-responsables

Elora soutient aussi des initiatives portées par d’autres organisations. L’engagement prend par exemple la forme de soutien de programmes comme Action Carbone Solidaire, porté par la Fondation Good Planet, ou le don d’une partie des produits invendus à des associations afin d’éviter le gaspillage.

À lire aussi :Nos matières éco-responsables et nos labels

Elora fait son maximum pour tendre vers une mode durable. Il s’agit aussi de de rendre les conseillères de vente fières de la marque avec laquelle elles travaillent. À cela s’ajoute également la satisfaction des clients de plus en plus sensibles à l'éco-responsabilité.